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Combien tout aura valu la peine, quand nous verrons Jésus !
Les épreuves de la vie sembleront si petites, quand nous verrons Jésus-Christ.
Par un seul regard de son doux visage, toute douleur aura disparu.
Alors, courage ! Continuons la course, bientôt nous verrons Jésus-Christ.
Esther K. Rusthoi 

La Souffrance : A l'origine la création de Dieu était bonne Genèse 1.31 et la souffrance n'existait pas. Mais l'homme, en se révoltant contre Dieu, a placé sa vie sous le jugement divin, se mettant sous la puissance et la menace de la mort. Genèse 2.17; 3.19 Ainsi il est tombé dans l'esclavage du péché Hebreux 2.15 et le reste des créatures a été entraîné avec lui Romains 8.18-23

Depuis lors, l'être humain ne fait que "passer et mourir". Sous l'effet du jugement de Dieu, la mort agit dans notre vie par la souffrance et elle exerce son influence la plus forte. C'est pourquoi les psalmistes mettent souvent de profondes souffrances en parallèle avec la mort. Psaumes 18.5; 22.16 (16.14; 116.3, 8) L'homme ne peut se dégager ni de l'une ni de l'autre par ses propres forces.

L'accès au monde sans souffrance lui est barré depuis la chute. Genèse 3.24 Même rachetés, nous restons solidaires de ce monde de souffrance jusqu'au jour où "ce qui est parfait" viendra. - La souffrance touche notre être tout entier: le corps (par exemple dans la maladie, la persécution et la captivité), l'âme (par exemple dans la perte d'êtres aimés) et l'esprit (par exemple dans la recherche du sens de la vie, de la souffrance et de la justice de Dieu). 

La Bible nous donne des exemples d'hommes qui ont souffert: Job, David (par le perte de ses fils), Asaph, l'auteur du Psaume 73, Salomon, l'apôtre Paul 2Cori.11.23-29, l'Eglise des rachetés que nous présente l'Apocalypse (6.9-11; 13.7; 17.6), etc.

Dans le Nouveau Testament, deux termes gr.: astheneia (= faiblesse) et pathêma (= épreuve) décrivent deux aspects d'une même réalité: l'homme est faible et livré à une puissance étrangère qui le diminue. Dans cet état, il est placé en face d'un choix: soit:  il accuse Dieu et se sépare de lui, se mettant sous l'empire de l'Ennemi. Apocalypse 16.9 2., soit:  il reconnaît que la souffrance vient de Dieu Psaumes 39.12; 94.12; Hébreux 12.6 et qu'elle est pour l'homme l'occasion de s'abandonner à la main divine de laquelle il accepte aussi sa souffrance Psaume 38.1; 39.12; 66.10-12; 94.12; Hébreux 12.6; Apocalypse 3.19 Dans ce cas, la souffrance exerce sur son développement spirituel une influence salutaire...

La souffrance vécue avec Dieu exerce une influence purificatrice sur l'homme en nous apprenant à haïr le péché, cause de la souffrance, et à obéir à Dieu (Hébreux 5.8; cf. Esaïe 48.10) en nous préservant de nouvelles désobéissances. Jacques 5.11
Satan est la cause de la souffrance et de la mort. Job 2.4 Dieu le laisse agir car il veut juger le péché Jérémie 21.5 corriger et purifier les hommes. Isaïe 48.10; Hébreux 12.5-11


Toutes les forces de la souffrance se sont concentrées sur Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Il est venu dans une chair semblable à celle du péché Jean 1.14; Romains 8.3 donc accessible à la souffrance. Il a vu cette souffrance comme liée indissolublement à sa vocation ("il fallait que le Fils de l'homme souffre") Matthieu16.21; 17.12; Marc 8.31; Luc 24.26.  Il fut semblable à nous en toutes choses. Hebreux 2.14-18; 4.14; 5.8 Esaïe 52.13-53.12 a d'avance expliqué le sens de ces souffrances. En le faisant mourir, Dieu a accompli son jugement sur le monde souffrant et mourant: "il a fait devenir Christ péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu" (2 Corinthiens 5.21).

Celui qui croit en lui participe à sa victoire sur le péché, la souffrance et la mort Jean 11.25; Romains 6.3-11; Hebreux 2.14; Apocalypse 7.13

Le chrétien communie aussi aux souffrances du Christ. Philippiens 3.10. Pour lui, la souffrance est une école de patience et de sanctification dans laquelle il doit conserver la foi. 2Corinthiens 1.8; 4.7-12

Par les souffrances que l'Eglise endure de la part des opposants à 'Evangile elle "achève... ce qui manque aux souffrances de Christ" Colossiens 1.24 non les souffrances rédemptrices, mais des souffrances en communion avec Christ (qui continue à souffrir dans son Corps qu'est l'Eglise) pour que d'autres puissent être gagnés à la foi. Mais la communion des souffrances implique pour l'Eglise aussi la communion à la résurrection Philippiens 3.10 "si nous souffrons avec lui, nous serons aussi glorifiés avec lui".

Romains 8.17 Pour Paul, "il n'y a pas de commune mesure entre les souffrances du temps présent et la gloire à venir qui sera révélée. Romains 8.18

Le N.T. emploie une douzaine de termes différents pour exprimer l'idée de souffrance: preuve de l'importance de ce thème. Les divers aspects de la souffrance apparaissent dans les différents sens de ces mots: être mis à l'épreuve, endurer l'adversité, rester dessous, persévérer, souffrir injustement, porter, supporter, être frustré, endurer la persécution, l'affliction.

Pas plus que la vie des incroyants, celle des chrétiens n'est "un long fleuve tranquille" ou "un chemin bordé de roses" (sans épines!). Mais contrairement aux gens du monde, le chrétiens sait que sa souffrance a un sens et qu'elle aura une fin lorsque "Dieu essuiera toute larme de leurs yeux" lorsque "la mort ne sera plus" et qu'"il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur". Apocalypse 21.4  (d'après le dictionnaire Biblique)


Ma grâce te suffit.
2 Corinthiens 12:9

Si aucun des Saints de Dieu n'était pauvre ou éprouvé, nous ne connaîtrions pas la moitié des consolations de la Grâce divine. Quand nous trouvons le vagabond qui n'a pas où reposer sa tête, silencieux, demeurons confiants. Quand nous voyons l'indigent affamé de pain et assoiffé d'eau, qui se glorifie encore en Jésus, quand nous voyons la veuve privée, accablée, dans l'affliction et ayant encore foi en Christ, oh! Quel honneur cela reflète sur l'Évangile. La grâce de Dieu est illustrée et magnifiée dans la pauvreté et les épreuves des croyants.

Les Saints souffrent sous chaque découragement, croyant que toutes choses concourent ensemble à leur bien, et que, loin de toute apparence négative, une réelle bénédiction de plénitude en jaillira, que leur Dieu ou bien oeuvrera promptement pour leur délivrance, ou bien leur accordera la sécurité de Son soutien dans leur malheur, aussi longtemps qu'il lui plaira de les garder. Cette patience des saints prouve la puissance de la grâce divine. Il y a un phare au large en mer; c'est une nuit calme. Je ne peux pas dire si l'édifice est ferme. La tempête se jettera contre lui et alors je saurai s'il tient bon. Il en est ainsi avec l'œuvre de l'Esprit.

Si nous n'étions pas à plusieurs reprises entourés de mers déchaînées, nous ne saurions pas s'il est vrai et fort. Si le vent ne soufflait pas dessus, nous ne saurions pas combien il est solide et sécurisant. La fierté de Dieu, ce sont ceux qui tiennent bon au milieu des difficultés, fermes, immuables.

Le sage au milieu du trouble est confiant en la victoire.
Quiconque veut glorifier son Dieu doit s'attendre à rencontrer plusieurs épreuves. Personne ne peut s'illustrer devant le Seigneur à moins que ses conflits ne soient nombreux. Si alors les vôtres sont un sentier durement éprouvé, réjouissez-vous-en, parce que vous voulez la meilleure démonstration de la toute suffisance de la grâce de Dieu.


Quant au fait qu'il vous fasse défaut, repoussez-en la pensée. Il faut que nous puissions mettre notre confiance jusqu'à la fin dans ce Dieu qui ne nous a jamais fait défaut. Ch. Spurgeon


Lève-toi et pars

L'heure arrivera, heure à laquelle ce message s'adressera à nous, comme il s'adresse à tous: "Lève-toi et pars, quitte la maison que tu as habitée, la ville où tu as traité tes affaires, quitte ta famille et tes amis. Lève-toi, et pars pour le dernier voyage.
Mais que savons-nous de ce voyage ? Que connaissons nous du pays de destination ? Peut-être avons nous eu quelques révélations de l'Esprit ? Mais comme nous savons peu de choses du domaine de l'Au-delà !


Nous savons qu'il existe une rivière sombre et tumultueuse appelée "la Mort". Dieu nous invite à la traverser, nous promettant d'être à nos côtés. Mais qu'y a-t-il devant nos yeux ébahis ? Quelle glorieuse vision sera dévoilée à nos regards ? Aucun voyageur n'en est jamais revenu pour nous le dire. Mais, nous en connaissons assez sur les lieux Célestes pour accueillir avec joie et bonheur notre convocation pour les Cieux.
Le voyage de la mort peut-être ténébreux, mais nous devons aller de l'avant sans peur aucune, sachant que Dieu est avec nous quand nous traversons la sombre vallée, et par conséquent, nous ne devons craindre aucun mal.

Nous quitterons tout ce que nous avons connu et aimé ici-bas, mais nous irons à a maison du Père, la maison de notre Père où se trouve Jésus, cette Cité Royale qui a de solides fondements et dont Dieu est l'architecte et le constructeur.
Ce sera notre dernier déménagement, et nous habiterons pour toujours chez Celui que nous aimons, au milieu de Son peuple, dans la présence de Dieu.


Ami chrétien, médite beaucoup sur le Ciel, cela t'aidera à poursuivre ton travail, et à oublier les difficultés du moment. Cette vallée de larmes n'est que le passage qui à un pays meilleur, ce monde de malheur est le seuil qui amène à un monde de félicité.
Seigneur, par Ta divine grâce, prépare-nous pour tes parvis resplendissants et si haut élevés, et que notre esprit s'élève et se joigne aux chœurs de ton Armée. Ch.Spurgeon

La joie

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